Merci, monsieur le ministre, de nous ramener aux fondamentaux du droit pénal. J'entends les explications de Mme la rapporteure ; la notion de dol spécial me rappelle mes cours de droit, qui sont très lointains. J'essaie simplement, pour ma part, de me mettre à la place de la victime : il ne me paraît pas convenable d'aller chercher une excuse supplémentaire à l'acte commis. C'est pourquoi j'invite tous mes collègues à se ranger à l'avis du Gouvernement.