Nous ne voulons pas légiférer à l'aveugle, sans données fiables sur un sujet aussi important. Lorsque l'on touche à une liberté constitutionnelle, en l'occurrence à la liberté d'enseignement, il me semble que le Parlement mérite d'être pleinement éclairé avant de voter. Ce n'est pas le cas aujourd'hui. C'est pourquoi nous proposons un amendement de suppression de l'article 21.