Eu égard à la période que nous venons de vivre, où plus de 1 milliard d'enfants ont été privés d'école à cause de la crise sanitaire dans le monde et où la France s'est distinguée en préservant ce droit, nous sommes particulièrement fondés à le défendre de façon fondamentale pour la suite.
Il se joue des choses très importantes, mais ne jouez pas les défenseurs des libertés quand, en réalité, vous refusez de voir que nous défendons les droits de l'enfant sans toucher, évidemment, à une liberté fondamentale.