Demain, cette concurrence s'exprimera avec l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et la Nouvelle-Zélande ; après-demain, avec l'accord entre l'Union européenne et l'Australie, ce dernier étant encore plus scandaleux lorsque l'on sait comment les Australiens ont récemment traité la France. Certes, les clauses miroirs nous permettraient d'imposer nos règles sanitaires et environnementales en vigueur dans l'Union européenne aux produits importés sur le territoire européen, mais nous devons auparavant mettre un terme à ce type de négociations, ou au moins poser un moratoire.