En 2005, Jacques Chirac avait eu le courage politique de faire du handicap une priorité et de défendre une grande loi. Désormais, c'est la règle des tableaux Excel, des études en tous genres, des paroles creuses et des ronds-de-cuir de la politique. Vous paraissez incapables de vraiment changer les choses. Ma colère est à la hauteur de votre méthode et de votre mépris envers notre texte.
Nous ouvrons ce matin un débat essentiel pour quelques millions de Français. Saboter ce texte serait une faute impardonnable – pas pour moi, pas pour mon groupe politique, pas pour les oppositions : ce serait une faute impardonnable pour les Français. Je n'imagine pas que vous commettiez cette faute.