pour des préoccupations majeures, dont nous ne sommes que les porte-voix. Vous réagissez, madame la secrétaire d'État, comme s'il s'agissait de notre part d'un caprice, ou d'opportunisme ! Comment pouvez-vous prétendre cela, étant donné la cause qui nous occupe aujourd'hui ? Combien de tours de piste nous faudra-t-il enchaîner devant vous ?