Merci, chers collègues, pour vos contributions. Vous l'aurez compris, la « sale méthode » choisie par la majorité consistant à supprimer chacun des articles par voie d'amendement va laisser peu de place au débat. Je prendrai donc quelques instants pour revenir sur certains des points qui ont été évoqués.
Madame la secrétaire d'État, madame Cloarec-Le Nabour, je comprends que cette proposition de loi suscite chez vous une profonde irritation. Figurez-vous qu'elle est appelée à durer, car comme l'a dit notre collègue Stéphane Peu, nous ne vous lâcherons pas s'agissant de sujets aussi essentiels que l'accès aux droits et la justice pour nos concitoyens en situation de handicap.