Monsieur le rapporteur, je dois vous interrompre.
Madame la députée, remettez-vous la présidence en cause ? Si ce n'est pas le cas, je vous demande de ne pas tenir de tels propos !
Quant à vous, monsieur le député, je dois vous rappeler que chacun, à tour de rôle, quand il a la parole, peut exprimer ce qu'il a envie de dire, parfois même de façon bruyante et tonitruante.
Je vous reprends les uns et les autres et j'invite tout le monde à garder son calme, surtout sur le sujet dont nous débattons, et à écouter les différents orateurs. Je vous l'ai dit, si le calme ne revient pas, je suspendrai la séance aussi longtemps qu'il le faudra.