Sur un sujet aussi essentiel, disais-je, nous ne baisserons pas la garde : de bout en bout, nous ne lâcherons pas. Permettez-moi, pour commencer, deux remarques de forme. D'abord, l'accusation quasiment ad hominem que vous avez jugé opportun de formuler tout à l'heure, madame Cloarec-Le Nabour, en nous traitant de « monstres politiques », est inacceptable. Chacun a son histoire et sait pourquoi il a voulu, un jour, s'engager en politique. Je ne vous laisserai pas, en nous pointant du doigt comme vous le faites ,