Cette jeune fille de 25 ans, dont le taux de handicap est de 80 %, travaille ; tout ce à quoi elle aspire, le jour où elle rencontrera l'amour et, peut-être, se mariera, est d'être le pilier de son couple. Peut-être rencontrera-t-elle quelqu'un qui ne pourra pas travailler. Si elle était en couple, elle ferait partie de ces 44 000 personnes qui perdraient à votre proposition de loi et que la fiscalisation actuelle protège.