Or c'est précisément cette définition qui a permis l'ouverture de droits nouveaux.
Vous affirmez que cette proposition de loi ouvrirait mécaniquement la prestation de compensation du handicap au handicap psychique. Je vous répète que l'article 1er , que chacun peut relire, ne mentionne pas la notion de handicap psychique mais uniquement les domaines d'intervention afin que ceux qui sont touchés par les maladies d'Alzheimer ou de Parkinson ou encore atteints d'autisme bénéficient de cette prestation.
J'aimerais entrer un peu plus dans le détail des dispositions de l'article car nous n'aurons pas l'occasion d'y revenir après l'adoption d'un amendement visant à le supprimer.
Je vous le répète : nous disposons d'un nombre d'études suffisant, il est temps de passer de la parole aux actes. Madame la secrétaire d'État, je ne comprends pas votre raisonnement. Vous nous avez expliqué, à demi-mots, que vous alliez réviser le décret d'ici à février.