Je veux tout d'abord vous remercier, madame la secrétaire d'État, car l'on m'a si souvent reproché ici de parler de ma vie personnelle ou de mon activité d'aide-soignante, en m'expliquant que dans l'hémicycle nous devions tous nous exprimer en tant que députés sans jamais mentionner notre vie personnelle. Je vous remercie de me donner raison, qui plus est à quelques jours de l'examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS). Je pourrai désormais évoquer mon expérience d'aide-soignante en me prévalant de votre autorisation.