L'UNAPEI, l'UNAFAM et Autisme France – entre autres associations, je ne les citerai pas toutes – sont favorables à l'article 1er . Comme l'a dit M. le rapporteur, je rappelle que, pour bénéficier du financement des aides humaines, par exemple les salariés à domicile, il faut être atteint de troubles causant une perte d'autonomie fonctionnelle – comme une incapacité à marcher ou à voir –, ce qui ne couvre pas, ou trop peu, les handicaps mentaux.
J'invite Mme Cloarec-Le Nabour, qui attend une étude, et M. Turquois, qui manque d'éléments, à lire, comme l'a fait Mme la secrétaire d'État, le rapport de Denis Leguay, président de Santé mentale France. Cette proposition fait partie de ses préconisations.
Cher monsieur Turquois, s'il manque une ligne à cet article ou si une erreur y figure, pourquoi ne pas l'amender plutôt que de le supprimer ? Toutes les associations, tous les usagers et toutes les oppositions soutiennent unanimement cet article 1er . Vous refusez systématiquement et par principe de soutenir un texte présenté par l'une de vos oppositions ; lorsqu'il s'agit d'une mesure que toutes les associations réclament, cette posture est pénible.