Grâce à cette politique, la pression fiscale sera la plus faible de ces vingt dernières années, puisque le taux de prélèvements obligatoires, avec un chiffre de 43,5 %, se situera en deçà de ce qu'il était en 2011. Cela signifie qu'avec les suppressions d'impôt que nous avons proposées, nous aurons effacé les augmentations de fiscalité opérées à partir de 2010-2011 à la suite de la crise financière de 2008 – je tiens en effet à rappeler à ceux qui semblent l'oublier que la hausse de la fiscalité a couvert les deux quinquennats précédents.