…qui se monte effectivement à 100 milliards, monsieur de Courson, on dépasse les 3 000 milliards. La France n'est donc plus à l'abri d'une crise financière qui remettrait en cause sa souveraineté mais aussi son modèle social et qui susciterait des mesures brutales pénalisant les plus fragiles, à l'instar de ce qui s'est passé en Italie et en Espagne, lors de la crise des dettes souveraines de 2011-2012.
Ce projet de loi de finances est de courte vision, comme s'il devait y avoir des élections en 2022.