Les consignes ont été bien reçues : vous n'avez pas manqué de rire lorsque le ministre a fait la leçon à Gilles Carrez sur le point de la cohérence. La chose se trouvait en effet assez savoureuse car, cher Bruno, c'est bien vous qui déclariez naguère : « Emmanuel Macron est le candidat sans projet car c'est le candidat sans convictions : il change de discours suivant l'auditoire. »