Avis défavorable. Je partage en tout point les propos du rapporteur général. Depuis le début de la crise – c'est un débat que nous avons également eu avec M. de Courson –, nous disons de manière permanente que l'estimation du solde structurel, quelle que soit la méthode retenue, dépend de manière importante de la croissance potentielle et de prévisions que la nature tant de la crise que de la reprise rend difficiles et incertaines. C'est un point sur lequel il faut insister : dans cette période, la lecture de plusieurs indicateurs peut nous perturber.
Madame Rabault, le solde nominal sera modifié.