Cet amendement vise à faire passer de 50 % à 80 % des dépenses éligibles le montant du crédit d'impôt relatif aux services à la personne pour les familles monoparentales, ce qui permettrait notamment une meilleure prise en charge de la garde d'enfants. Je rappelle qu'un quart des familles françaises sont monoparentales, que 82 % des enfants concernés habitent avec leur mère, et que 45 % des enfants qui se trouvent dans ce dernier cas vivent sous le seuil de pauvreté. C'est à l'amélioration des conditions de vie de ces familles que tend notre amendement.