Les arguments développés par M. le rapporteur général et M. le ministre délégué nous laissent avec cette question : est-il normal et loyal que ces associations soient financées par la générosité publique ? Vous ne pouvez y répondre par l'affirmative.
Nos concitoyens ne comprennent pas cette situation. Même si c'est compliqué, monsieur le rapporteur général, nous devons nous efforcer d'y apporter une réponse. Depuis que Marc Le Fur a soumis cette réflexion à l'Assemblée nationale, vous n'avez pas du tout évolué, vous n'avez donné aucun signal pour décourager ces associations du point de vue fiscal. Puisque nous avons un outil, utilisons-le. Nous sommes là pour utiliser les outils qui rendent service au contribuable et à l'élevage.