Les bénévoles qui contribuent au bon fonctionnement des centres de vaccination sont les grands oubliés de la gestion de la crise. Ils sont pourtant essentiels, d'autant que certains assurent une présence quasi journalière. Sans remettre en cause les vacations perçues par le personnel médical, il y a tout de même, il faut l'admettre, une profonde injustice dans le traitement réservé à ces bénévoles. L'amendement propose donc d'ouvrir, pour les heures effectuées, un crédit d'impôt plafonné à 1 000 euros par an et calculé sur la base du SMIC horaire.