Il procède de la même idée que le précédent et tend à ce que le bénéfice de ce dispositif favorable d'exonération dans la limite de 500 000 euros ne se limite pas au moment du départ à la retraite, mais qu'on puisse y recourir une fois tous les quinze ans – à la différence de ce que propose l'amendement de Mme Louwagie, qui limite ce recours à une seule fois dans la vie professionnelle. Un tel dispositif, qui permettrait de vendre et de réinvestir pour reprendre une entreprise ou en créer une nouvelle, serait beaucoup plus efficace que si le bénéfice en était conditionné au départ à la retraite.