L'argument utilisé pour faire voter les conseils départementaux, qui ont donné un avis sur cet établissement public foncier national, était différent. On nous avait parlé d'une trésorerie d'une soixantaine de millions – ce qui n'est déjà pas mal – et non de 120 millions. On nous avait dit aussi que grâce à l'élargissement et aux recettes supplémentaires, on pourrait mener une politique beaucoup plus active, non seulement en Lorraine, mais également en ex-Champagne et en ex-Alsace. Votre réponse, monsieur le ministre, est provisoire…