J'apprécie votre gentillesse, madame la présidente !
Le problème, monsieur le rapporteur général, réside dans la façon dont vous présentez les choses. Vous nous dites en substance que le Gouvernement s'est mis d'accord avec les acteurs de France télévisions. En réalité, ceux-ci n'ont pas vraiment eu le choix : la trajectoire n'est pas convenue avec eux, elle leur a été imposée.
Comme eux, je pense que nous avons la chance de disposer d'une télévision publique de qualité, à laquelle il faudrait davantage de moyens pour se montrer encore plus performante en matière d'information et en matière de création – car son esprit est créatif. Nous ne devons pas l'affaiblir en cherchant constamment à réduire son budget. Quand on possède un tel joyau, on fait en sorte qu'il continue de briller, d'être reconnu comme un média performant qui accompagne la vie démocratique. Je le répète, laissez-le donc faire son travail en lui donnant les moyens de le faire.