M. le secrétaire d'État chargé des affaires européennes a répondu dans le détail aux interrogations exprimées pendant le débat sur le prélèvement sur recettes au profit de l'Union européenne. Je serai donc bref sur cet amendement, qui n'en est finalement que le prolongement.
Ce n'est certainement pas en réduisant le montant du PSR-UE que l'on accélérera les versements européens à la France. M. le président de la commission des affaires étrangères, Jean-Louis Bourlanges, a parfaitement présenté la situation, que le Gouvernement a bien évidemment en tête dans la perspective de la prochaine présidence française du Conseil de l'Union européenne. Une baisse du PSR-UE ne saurait constituer une bonne idée à ce stade. Avis défavorable.