Bien qu'étant ouverte à l'idée de fournir des garanties sur le champ du pavoisement, je considère ces deux limitations comme inapplicables.
L'utilisation de projections sur les façades, qui est de plus en plus répandue, sera sans aucun doute très commune en 2024. Elle est plus simple qu'un affichage de bâches et plus temporaire, l'affichage lumineux n'étant mis en place que pour quelques heures.
Par ailleurs, si privilégier les matériaux recyclables apparaît comme un objectif louable, ce n'est pas une obligation. Du reste, la rédaction que vous proposez ne garantit rien. C'est pourquoi je vous suggère le retrait de cet amendement.