Mon collègue Gosselin a fort justement rappelé hier que, le 7 septembre, nous sommes tous revenus pour voter la prorogation de l'état d'urgence sanitaire dans les outre-mer et que rien n'empêcherait de convoquer le Parlement pour une session extraordinaire au-delà du 26 février 2022, si besoin était.
L'évolution de l'épidémie ainsi que sa gravité doivent être finement évaluées avant d'imposer à nouveau à nos concitoyens des restrictions démesurées. Nous avons de quoi nous inquiéter avec ce blanc-seing que vous exigez de nous aujourd'hui. Notre responsabilité première vis-à-vis de nos concitoyens, c'est de contrôler l'action du Gouvernement.