Tout d'abord, je reprends mon propos où je l'avais laissé, c'est-à-dire au sujet des soignants de la Martinique, pour me réjouir de l'heureuse issue qu'a connue ce territoire.
Ensuite, monsieur le ministre, vous nous dites au fond que l'objet de nos débats ne constitue qu'une boîte à outils, qu'il n'est pas question d'imposer le passe jusqu'au 31 juillet. Comment peut-on encore vous croire ? Qui pensez-vous encore capable d'ajouter foi à vos déclarations ?