Non, il y a déjà un psychiatre dans cet hémicycle et je ne suis pas un professionnel en la matière.
Il n'y a aucune intention cachée, je le répète, et, au fond, chacun sur ces bancs a bien compris la logique du projet de loi : être en mesure, quoi qu'il arrive au cours de l'année, de réagir face à la menace virale et de prendre les bonnes dispositions au bon moment, sous le contrôle du Parlement. Nous ne devons pas nous priver d'une possibilité de réaction rapide au prétexte qu'il y aurait des élections.