Sur la date du 31 juillet jusqu'à laquelle il est proposé de proroger la possibilité d'activer l'ensemble des mesures, indépendamment les unes des autres, le Conseil scientifique s'est prononcé favorablement, considérant qu'elle était adaptée et laissait assez de visibilité et de stabilité face à une menace épidémique qui ne saurait disparaître dans l'année qui vient.