Nous risquons donc que ce soit un autre président ou une autre présidente qui nous convoque, car nous sommes là jusqu'au 17 juin prochain.
Si le 15 février, il faut étriller le Gouvernement, certains sauront le faire. S'il faut le conforter, d'autres le feront. L'important est simple : il s'agit d'être efficaces et d'enrayer enfin cette pandémie.