On ne peut pas accepter, quelle que soit la situation – car je vous rappelle qu'il y a eu des temps difficiles, notamment durant la première guerre mondiale, où les choses étaient tout à fait différentes –, un « quoiqu'il en coûte » qui consisterait à se passer du Parlement pendant des mois et à laisser à l'exécutif un pouvoir discrétionnaire.