Cette territorialisation se fonde sur un critère objectif, à savoir la prévalence de la maladie.
Je considère – et je ne suis pas le seul, puisque le professeur Houssin et d'autres sommités médicales indiquent également leur préférence pour la territorialisation – qu'il faut tenir compte des circonstances de temps, ce dont tout le monde convient, mais aussi des circonstances de lieu, ce dont vous convenez partiellement. L'amendement a pour but d'affirmer ce principe.