Mais, madame la députée, je ne peux pas vous regarder dans les yeux et vous dire qu'il n'y aura pas de nouveau variant, ni que je suis sûr qu'il n'y aura pas de vague épidémique au mois de décembre, janvier ou février. Ce serait vous mentir : personne ne peut en être sûr. En l'état actuel des connaissances scientifiques, nous ne souhaitons pas appliquer le passe sanitaire là où ce ne serait pas nécessaire. Nous prendrons nos responsabilités le moment venu pour faire savoir à l'ensemble des acteurs économiques, de la montagne et d'ailleurs, ce que la situation épidémique nous imposera de faire pour préserver leur activité, et surtout sauver des vies.