Monsieur Schellenberger, j'ai déclaré plus tôt que le passe sanitaire n'était pas une situation normale ; vous n'étiez pas présent et vous revenez en prétendant que j'ai dit exactement l'inverse. J'ai précisément affirmé que le passe sanitaire ne correspondait pas à une vie normale.
Arrêtez de faire comme si vous n'intériorisiez pas la contrainte de l'épidémie et de ce qu'elle fait peser sur les Français depuis dix-huit mois. C'est bien parce qu'il y a une épidémie que nous prenons des mesures. Lorsque celle-ci s'arrêtera, nous les supprimerons. Sans doute constituent-elles la solution du moindre mal pour certains et une bonne solution pour d'autres. En tous les cas, ce n'est pas une situation normale, elle est temporaire. Et plus nous respecterons ces mesures, plus vite nous nous approcherons du moment où nous pourrons nous en passer.
Avis défavorable.