Le fait d'être un député d'outre-mer ne signifie pas que l'on ait automatiquement droit à la parole, monsieur Jumel ! Je veux bien donner la parole à M. Nilor, mais d'une part je ne l'ai pas vu la demander, d'autre part chacun doit être raisonnable, car si j'ai accepté que nous abordions certains amendements avant la levée de séance, il ne faudrait pas que cela nous entraîne trop loin.
La parole est à M. Jean-Philippe Nilor.