À cet égard, les noms d'oiseaux qu'on a entendu proférer à l'encontre de certains de nos collègues sont inacceptables.
Cela étant dit, j'en reviens au fond, c'est-à-dire aux amendements provocateurs et outranciers de M. Michels, visant à élargir le passe sanitaire au monde de l'entreprise sans mesurer les conséquences qui pourraient en résulter. Comme s'il ne vous suffisait pas d'avoir déréglementé le droit du travail et permis aux chefs d'entreprise de licencier comme bon leur semble, vous proposez désormais d'ouvrir le monde de l'entreprise à l'autoritarisme dont vous faites preuve à travers cette loi. Je vois dans cette proposition une provocation et j'espère qu'elle sera repoussée, y compris par les libéraux constituant la majorité parlementaire.