Cet amendement pointe une absurdité, une de plus. Contrôler un certificat de contre-indication signifie qu'on ne fait plus confiance aux confrères puisque ce sont des certificats médicaux, signés par des docteurs en médecine, qui connaissent leur métier en principe. Il est vrai que cela fait dix-huit mois qu'on ne leur fait plus confiance : on a commencé par leur interdire de soigner leurs patients et, aujourd'hui, on ne fait pas confiance à tous ceux qui ont fait un autre choix que l'immunisation par cette pseudo-vaccination, se privant ainsi de nombreux professionnels de santé.
Non content de limiter de nouveau l'accès aux soins, on encourage, a contrario, le contrôle excessif. Je pense que les praticiens-conseils de la sécurité sociale ont beaucoup mieux à faire que de contrôler ces contre-indications.