sans agir de toute urgence.
Depuis avril 2020, il a ainsi réquisitionné des opérateurs en Guadeloupe, effectué pour 6 millions d'euros de travaux d'urgence sur 4 000 fuites, coordonné la gestion de crise avec les maires de Martinique, élaboré des plans d'urgence, distribué de l'eau potable, installé des citernes dans les quartiers où survenaient des coupures d'eau aux Antilles, des bornes-fontaines dans les quartiers informels de Mayotte et de Guyane. Toujours à Mayotte, il a financé des rampes d'eau : depuis le début de la crise sanitaire, 130 ont été fabriquées et posées avec l'appui des maires ! Une feuille de route établie avec le syndicat compétent et le conseil départemental a permis de mobiliser 13 millions, plus 15 millions fournis par le département, en vue d'investissements d'urgence dans l'eau potable et l'assainissement ; les dettes du fournisseur du syndicat ont été résorbées, et j'en passe.
Ce sont là des initiatives concrètes dont un plan ORSEC n'aurait pas atteint 10 % du montant. Voilà ce qu'a fait l'État et ce qu'il continuera de faire aux côtés des collectivités !