Débattre des ordonnances ne me pose aucun problème. Parlons d'ailleurs du résultat qu'elles ont eu, puisque ce n'est pas la première fois que nous présentons des ordonnances sur ce sujet. Il est ici question des modalités de recours à l'activité partielle, lorsque la situation l'exige en période de crise sanitaire. C'est comme pour le versement des indemnités journalières évoqué tout à l'heure : face à des décisions qui ont un impact sur le pouvoir d'achat des Français, il y a urgence et nous agissons en conséquence.
Pourquoi n'avons-nous aucun problème à débattre avec vous de la façon dont l'activité partielle a été appliquée ? Parce que, malgré la crise sanitaire, ce dispositif permet à la France d'afficher un taux de chômage inférieur à celui qu'elle a connu en 2008 avant la crise économique et bancaire