Alors, j'en suis convaincu, les choses changeraient vite : vous adopteriez immédiatement de grandes lois et lanceriez de grands plans de dizaines de milliards. Il en pleuvrait, des milliards, si c'était vous, madame la ministre déléguée, si c'était moi, ou si c'étaient nos collègues députés qui devaient vivre avec 682 euros par mois !