Il vise également à supprimer l'article 4. On peut entendre que les grossistes répartiteurs ont besoin que leurs marges progressent et que le secteur doit être soutenu, mais on peut légitimement s'interroger sur une mesure qui coûtera 35 millions d'euros à la sécurité sociale quand on connaît le déficit actuel que connaît cette dernière.
Si on souhaite venir en aide à un secteur particulier, il faut faire appel au budget de l'État et non à celui de la sécurité sociale. Elle n'est pas une boîte à subventions.