La question, qu'on ne peut évacuer si facilement, est de savoir à quel prix social et environnemental nous défendons l'attractivité. En parlant en ces termes, monsieur le rapporteur général, vous avouez que les allégements au titre du CICE ont des effets que nous devons combattre. Nous disposons là d'un levier puissant : nous devrions l'utiliser en faveur du progrès social et environnemental, c'est-à-dire de causes qu'on ne peut remettre à demain et sur lesquelles la puissance publique ne peut rester silencieuse, ni se dédouaner en laissant faire les entreprises.
Peut-être pouvez-vous discuter et affiner les critères, à l'aide de sous-amendements, mais ils correspondent à des objectifs d'intérêt général que nous pourrions partager.