Je persiste et signe : l'information est parfaitement connue. Vous connaissez le proverbe : « Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage. » Lorsqu'on ne veut pas d'une réforme, on affirme qu'on n'est pas préparé et qu'on n'a pas les éléments pour l'appliquer. J'ai été le premier, l'année dernière, à proposer de la reporter d'un an parce que nous ne disposions pas des simulations et estimions que son instauration nécessitait du temps. Désormais, les simulations sont disponibles. En revanche, nous attendons toujours que la FHP nous transmette la liste des vingt-huit établissements dont elle dit qu'ils pourraient être potentiellement perdants. Mais vous savez bien, madame la députée, comment cela fonctionne.