Par ces amendements, j'entends vous alerter sur la contention chimique, qui devient une habitude qu'il faut absolument perdre. Quant aux contentions systématiques dans les hôpitaux, rappelez-vous, monsieur le rapporteur général, monsieur le ministre, que quand vous étiez internes, on les interdisait puisqu'il était prohibé d'écrire dans les notes transmises : « Si besoin ». Or c'est aujourd'hui la norme pour toutes les personnes qui entrent en hospitalisation psychiatrique ou même dans les unités de vie protégées des EHPAD dans lesquelles, j'attire votre attention sur ce point, sévit une pratique de la contention préoccupante. C'est devenu une habitude alors qu'il faut absolument revenir à des discussions collectives pour savoir si on met ou non une barrière de lit, ou encore une contention