J'ai relu votre amendement sur la personne de confiance, monsieur le rapporteur général. Vous écrivez : « dès lors qu'une telle personne est identifiée », mais qui l'identifie ? C'est très vague. Il faut vraiment que nous garantissions un droit au patient indépendamment du degré de dangerosité de son comportement. Il convient qu'une personne soit clairement identifiée et cela mérite d'être précisé.