Monsieur Ruffin, je souscris à l'idée qu'il faut évaluer davantage et mieux le degré de dépendance – ou plutôt d'autonomie, je préfère le dire ainsi – des personnes bénéficiant d'une aide à domicile. Je travaille ainsi sur la présence d'ergothérapeutes, lors des diagnostics du domicile. Si nous arrivons à avancer dans le débat, nous en discuterons à propos des aides techniques et des aménagements du domicile des personnes âgées que nous rendrons possibles – l'amélioration de la qualité de vie au travail de ceux qui aident à domicile en est le corollaire.
Mais vous ne m'écoutez pas. En fait, cela ne vous intéresse pas, ce que l'on vous dit ici !