Ainsi, le métier resterait ouvert à l'entrée pour les aides à domicile – qui, en vérité, font bien souvent le travail des auxiliaires de vie, les auxiliaires de vie faisant souvent le travail des aides-soignantes, suivant une sorte de logique de délégation des tâches.
Pourquoi n'existe-t-il pas de formation qualifiante ? Je pense que c'est parce que l'on considère ces tâches comme « naturelles » : parce qu'il s'agit de femmes, on fait comme si elles avaient acquis des savoir-faire et des savoir-être à l'intérieur du domicile, qui deviennent un métier à l'extérieur.