Au fond, il y a un inconscient de la société que nous devons combattre : c'est de penser que, puisque les femmes ont accepté bénévolement, gratuitement, durant des siècles, de s'occuper des personnes âgées, des malades et des enfants à domicile, elles peuvent continuer de le faire à l'extérieur en étant un peu payées. C'est de cette logique qu'il nous faut sortir. Je suis désolé de le dire, monsieur Petit, mais nous devrons en passer par la loi pour définir des orientations.