Le Sénat a souhaité revenir à la situation antérieure pour répondre à ces cas scandaleux, mais on nous dit que ce n'est pas possible. Il faudrait donc laisser perdurer ces va-et-vient entre public et privé, où l'on voit bien que les carnets d'adresses se monétisent très cher. On ne peut pas nous dire que ce n'était pas dans le programme de M. Macron : c'est une mesure de salubrité publique !