Le ministre de la santé est bien sûr convaincu de l'intérêt d'expérimenter l'accès direct aux masseurs-kinésithérapeutes. Toutefois, il souhaiterait que le cadre de cette expérimentation soit moins strict afin d'adapter les modalités de déploiement aux réalités du terrain. Si le sous-amendement est adopté, l'expérimentation sera menée en priorité dans les centres de santé et les maisons de santé pluriprofessionnelles, mais elle pourra également se dérouler, le cas échéant, dans les CPTS – communautés professionnelles territoriales de santé – répondant aux conditions fixées par décret.